RÉSUMÉ : Un réalisateur de films intransigeant, John Wilson, s’apprête à tourner une superproduction en Afrique. Il est peu à peu captivé par un autre projet: celui de partir à la chasse à l’éléphant. En 1951 Peter Viertel, romancier, accompagne John Huston en Afrique sur le tournage d' »African Queen ». Il en tire un ouvrage « Chasseur blanc, cœur noir » qui, déclare-t-il, « ne traite pas d' »African Queen ». C’est le portrait d’un réalisateur en proie à une obsession envahissante qui, pour lui, passe avant tout. Une obsession dont le prix sera exorbitant. »
Bonjour tout le monde ! Ou plutôt bonsoir vue l’heure à laquelle je poste cet article… Oui, je le sais, ce n’est pas raisonnable de ma part de poster ma seconde découverte des Extravagances de manière si in extremis, mais le principal est que je sois dans les temps, n’est-ce pas ? 😀
Alors le voici le voilà, dans le thème « Réalisé par Clint Eastwood », je vous présente Chasseur blanc, cœur noir ! Le plus connu, n’est-ce pas ? Hmm hmm… C’est donc le second film que je regarde de ce grand réalisateur, après American Sniper dont je compte bien vous parler un jour (très précis hein ? :p). J’ai hésité entre ce film et Invictus, peut-être aurai-je dû opter pour le second ? Certainement. D’autant plus que regarder Chasseur blanc, cœur noir lorsque l’on a peu dormi… C’est assez compliqué à comprendre… Mais voilà, je vais quand même essayer de donner un avis qui je l’espère sera tout au moins pertinent sur ce film !
Petite mise en contexte
J’espère ne pas me tromper en disant cela, mais il me semble que le personnage qu’incarne Clint Eastwood – parce-que oui, il a une fois encore une double casquette pour l’un de ses films – incarne un réalisateur ayant tourné en Afrique. Une grande différence se ressent cependant : le réalisateur représenté se concentre essentiellement sur le tournage de son film, tandis que Clint Eastwood semble plutôt préférer chasser l’éléphant, jusqu’à décevoir ses amis.
Une forte personnalité incarnée par Clint Eastwood
J’ai trouvé assez intéressant ce point de vue que l’on a du travail, des ambitions du réalisateur, même s’il n’est certainement qu’une facette, qu’une personnalité parmi la multitude d’hommes qui exercent ce métier. On découvre au départ un personnage qui fait tout pour réaliser un film à son image, sans artifice, en insistant pour tourner en Afrique plutôt que dans un studio ou dans un décor qui n’est pas fidèle à sa vision des choses. On découvre par cela un personnage caractériel, qui sait ce qu’il souhaite et qui d’ailleurs l’obtient, sans prendre garde à son entourage. Ses ambitions vis-à-vis de son film vont rapidement être tournées vers un autre objectif : celui de chasser un éléphant. Le réalisateur se détourne totalement de sa création ainsi que de ses partenaires, montrant un personnage borné.
Je ne saurai dire si j’ai aimé ce film ou non, tant il m’a semblé compliqué. Il me faudrait certainement le revoir à tête reposée afin de mieux le cerner et en comprendre les objectifs de Clint Eastwood.
J’espère faire mieux pour le prochain, et promis, je serai en forme quand je regarderai le film ! D’ailleurs en attendant je vous invite à aller voir mon précédent article des Extravagances, beaucoup plus fini et intéressant !
Effectivement, ça m’a l’air compliqué, j’ai pas tout compris XD En fait, Clint Eastwood joue un acteur, qui aime la chasse à l’éléphant, qui lui même joue un réalisateur obsédé par son film? Sacrée mise en abîme (si j’ai bien compris) XD
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Ouais, je m’y reprendrai plus à écrire en étant fatiguée et sans avoir réellement suivi le film ! En fait il s’agit de Clint Eastwood qui incarne un réalisateur qui au lieu de réaliser son film préfère partir à la chasse à l’éléphant ^^
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