Les oiseaux (The Birds) réalisé par Alfred Hitchcock

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RÉSUMÉ : Melanie, jeune femme quelque peu superficielle, rencontre chez un marchand d’oiseaux un brillant et séduisant avocat qui recherche des inséparables. Par jeu, Melanie achète les oiseaux et les apporte a Bodega Bay. Dès son arrivée, elle est blessée au front par une mouette…


Bonjour à tous ! Je retrouve aujourd’hui pour les Extravagances du mois d’octobre – avec beaucoup de retard et vous m’en voyez désolée. Avec le thème mensuel « Un film réalisé par Alfred Hitchcock » je me voyais dans l’obligation de « m’attaquer » à son film Les oiseaux dans la mesure où je ne l’avais pas encore vu. C’est aujourd’hui fait, et j’ai plaisir à enfin pouvoir dire que j’ai vu ce grand classique du cinéma !

Des effets spéciaux de l’époque, évidemment

Nous sommes aujourd’hui tellement habitués à des effets spéciaux pour le moins ultra-réalistes que ceux d’Hitchcock pourraient nous sembler tout bonnement ridicules, et pourtant. Effectivement on remarque indéniablement les images d’oiseaux superposées aux scènes tournées par Alfred (ouais, on s’appelle par nos prénoms, on est un peu comme ça nous, m’voyez!). Mais trêve de plaisanterie. L’habitude n’est plus à ces effets spéciaux (vraiment spéciaux du coup!) mais ça n’enlève rien à ce classique qui a ça place dans le cinéma d’épouvante (enfin ça c’est ce qu’on dit mais je peux pas vraiment comparer en fait..).

De petites déceptions

Ce qui est certain, c’est que j’ai tout de même été un peu déçue car je m’attendais à avoir vraiment peur, alors que de toute évidence ça ne m’a fait ni chaud ni froid (je remets sur le tapis le coup des effets spéciaux qui jouent un rôle indéniable dans ce cas précis, mais qui sont certainement bien moins impressionnant qu’au moment de la sortie du film).

Et en ce qui concerne ma seconde déception, c’est au moment de la fin, qui m’a laissée « sur ma faim » justement. Je m’attendais à quelque chose de bien plus concret si je puis dire, et surtout de bien plus triste – je suis pas une psychopathe hein…

Une scène d’épouvante certaine

Je salue par ailleurs la scène de l’école, qui reste pour moi la meilleure et la plus impressionnante, et qui pourrait devenir une hantise s’il y avait dans la réalité autant d’oiseaux sur une même structure de jeu – déjà que les jeux pour enfants sont parfois flippants à eux tout seuls (je parle bien là des balançoires qui grincent dans la nuit!), alors si on y ajoute une flopée d’oiseaux carnassiers…

Je vous retrouve au plus vite pour le prochain film des Extravagances (qui est lui aussi en retard du coup..), mais promis je vais rattraper tout ça ! À bientôt.

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