Le garçon au pyjama rayé (The Boy in the Striped Pyjamas) réalisé par Mark Herman

Le garçon au pyjama rayé

RÉSUMÉ : Seconde Guerre mondiale. Bruno a tout juste 9 ans lorsque son père, un officier nazi remarqué par le Führer, se voit confier le commandement du camp de concentration d’Auschwitz. Le petit garçon n’apprécie guère de devoir quitter la belle et grande maison de Berlin pour se retrouver dans une demeure isolée et triste. De sa chambre, il aperçoit des hommes, des femmes et des enfants tous vêtus de pyjamas rayés. Personne ne lui explique qui ils sont, mais l’innocence aidant, il va se lier d’amitié avec un enfant juif…

Me voilà avec les Extravagances du mois d’août 2017 (presque pas en retard… hm…) avec un très grand enthousiasme ! La thématique était celle d’un « film britannique », ce qui n’a pas été une mince affaire à choisir étant donné le nombre d’œuvres cinématographiques produites… Je suis cependant plus que ravie de vous parler aujourd’hui d’un film qui m’a complètement mis une claque : Le garçon au pyjama rayé, réalisé par Mark Herman.

Lire la suite « Le garçon au pyjama rayé (The Boy in the Striped Pyjamas) réalisé par Mark Herman »

Astérix chez les bretons réalisé par Pino Van Lamsweerde

Astérix chez les bretons.jpg

RÉSUMÉ : Les Romains ont volé un peu de la célèbre potion magique de Panoramix. Astérix et Obélix vont tout faire pour récupérer ce bien précieux.

Bonjour à tous ! Aujourd’hui je vous parle de mon petit visionnage assez nostalgique : Astérix chez les bretons.

Lire la suite « Astérix chez les bretons réalisé par Pino Van Lamsweerde »

Un homme idéal réalisé par Yann Gozlan

Un homme idéal.jpg

RÉSUMÉ : Mathieu, 25 ans, aspire depuis toujours à devenir un auteur reconnu. Un rêve qui lui semble inaccessible car malgré tous ses efforts, il n’a jamais réussi à être édité. En attendant, il gagne sa vie en travaillant chez son oncle qui dirige une société de déménagement… Son destin bascule le jour où il tombe par hasard sur le manuscrit d’un vieil homme solitaire qui vient de décéder. Mathieu hésite avant finalement de s’en emparer, et de signer le texte de son nom… Devenu le nouvel espoir le plus en vue de la littérature française, et alors que l’attente autour de son second roman devient chaque jour plus pressante, Mathieu va plonger dans une spirale mensongère et criminelle pour préserver à tout prix son secret…

Le voilà, enfin, le « petit film la chance » du mois de mai. « Au petit film la chance » oui, nous avons fini par lui trouver un nom à ce défi loufoque que nous n’arrivons même pas à tenir ! haha. Bref… Sans plus attendre, la thématique de ce tirage n’était autre que celle-ci : « un film avec pour acteur Pierre Niney » ! J’étais au départ partie pour vous parler de Frantz. Et puis comme j’ai trop tardé à écrire j’en ai visionné un second, dont je vous parle dès à présent : Un homme idéal par Yann Gozlan.

Lire la suite « Un homme idéal réalisé par Yann Gozlan »

La reine soleil réalisé par Philippe Leclerc

La reine soleil

RÉSUMÉ : Égypte antique, 18ème dynastie. Akhesa, ravissante princesse de 14 ans, est loin d’imaginer qu’elle régnera un jour sur l’Égypte… Lorsque son aventure commence, l’impétueuse jeune fille se rebelle contre son père, le pharaon Akhenaton. Elle refuse de vivre confinée dans l’enceinte du palais royal et veut découvrir pourquoi sa mère, la reine Néfertiti, est partie s’exiler sur l’île d’Éléphantine. Akhesa s’enfuit avec l’aide du prince Thout, dans l’espoir de retrouver sa mère. Au mépris du danger, les deux adolescents voyagent alors des rives du Nil aux dunes brûlantes du désert, et affrontent avec courage le mercenaire Zannanza et les prêtres qui complotent pour renverser le pharaon. Avec leur innocence comme seule arme, Akhesa et Thout surmonteront de nombreuses épreuves, et connaîtront ensemble un destin extraordinaire.


Bonjour à tous ! Voici, enfin, les Extravagances du mois de mars… Oui oui oui, je vous fais le coup à chaque en vous disant que je rattrape mon retard mais finalement il est toujours là… (oupsi?). Bref, bref, voici un film « sur l’Egypte ancienne », dans la catégorie animation cependant : La reine soleil.

Lire la suite « La reine soleil réalisé par Philippe Leclerc »

Les oiseaux (The Birds) réalisé par Alfred Hitchcock

les-oiseaux

RÉSUMÉ : Melanie, jeune femme quelque peu superficielle, rencontre chez un marchand d’oiseaux un brillant et séduisant avocat qui recherche des inséparables. Par jeu, Melanie achète les oiseaux et les apporte a Bodega Bay. Dès son arrivée, elle est blessée au front par une mouette…


Bonjour à tous ! Je retrouve aujourd’hui pour les Extravagances du mois d’octobre – avec beaucoup de retard et vous m’en voyez désolée. Avec le thème mensuel « Un film réalisé par Alfred Hitchcock » je me voyais dans l’obligation de « m’attaquer » à son film Les oiseaux dans la mesure où je ne l’avais pas encore vu. C’est aujourd’hui fait, et j’ai plaisir à enfin pouvoir dire que j’ai vu ce grand classique du cinéma !

Lire la suite « Les oiseaux (The Birds) réalisé par Alfred Hitchcock »

Avant toi (Me Before You) réalisé par Thea Sharrock

Avant toi

RÉSUMÉ : Si elle est originale et artiste dans l’âme, Louisa, n’a aucune ambition particulière. Elle se contente d’enchaîner les boulots pour permettre à ses proches de joindre les deux bouts. Jeune et riche banquier, Will était un garçon plein d’audace et d’optimisme jusqu’à ce qu’il se retrouve paralysé, suite à un accident…


Bonjour tout le monde ! Je vous reviens aujourd’hui avec un film récent (oui, oui!), mais potiche comme je suis il ne pourra pas entrer dans le défi alphasciné car je l’écris un petit jour trop tard.. Mais peu importe, j’avais tout particulièrement envie de vous parler de ce film adapté du roman éponyme de Jojo Moyes, qu’il me tarde de dévorer !

Un coup de cœur dès les premières secondes

Alors comment vous dire… Dès les 5 premières minutes, même secondes, je suis tombée amoureuse de ce chef-d’œuvre ! En quelques secondes seulement j’ai su qu’il serait le meilleur, le plus beau, le plus merveilleux, le plus émouvant film que je n’ai jamais vu. En quelques secondes il a détrôné mon film fétiche depuis plusieurs années The Last Song – que j’ai vu, vu, et revu un bon million de fois maintenant. Comment ai-je su que j’allais adorer, je dirai même idolâtrer, ce film ? J’ose dire l’instinct.

J’avais beaucoup entendu parler du roman de Jojo Moyes, rapidement de ce qu’il découlait de l’histoire, et lorsque mon acolyte de toujours, Florian, et moi-même avons décidé d’aller voir son adaptation au cinéma, je m’attendais à un film émouvant, certes, mais pas à ce point là. Je pense pouvoir dire que je n’ai jamais autant pleuré devant un film, de vraies larmes, pas uniquement d’un sentiment intérieur.

Dès les premières secondes, donc, nous sommes immergés dans l’histoire à son commencement, à ce moment où la vie d’un homme bascule. On s’attend à toutes les situations possibles, tous les accidents qui auraient pu engendrer cette paralysie, et pourtant la mise en scène du début nous surprend déjà. On entre ensuite tout aussi rapidement dans deux univers bien différents, mais qui finalement vont merveilleusement s’accorder à force de volonté, au départ de la part du personnage de Louisa, interprété par Emilia Clark. Nous entrons donc dans l’univers pour le moins détruit et déprimant – voir déprimé – de Will (Sam Claflin *-*), dont la joie de vivre à bien disparue depuis son accident. À l’opposé, nous avons Louisa, jeune femme exubérante, au look pour le moins douteux, mais plein de vie, qui, de par son caractère optimiste, fera tout pour redonner la joie de vivre à Will. Ce sont deux mondes qui, à force de travail, d’empathie, d’écoute et de soutien, parviennent à se réunir pour former une harmonie absolue.

Un sujet poignant

Les acteurs, principaux comme secondaires, endossent par ailleurs merveilleusement bien leurs rôles. Chacun amène sa part de joie et de tristesse à sa manière, au cours des différentes étapes d’une vie qui a semblé s’arrêter subitement au détour d’une rue. Chaque personnage tente de garder ou de se faire une place dans un monde où la vie peut être bien cruelle, de différentes manières, et surtout avec de l’amour. Mais au-delà de ce sentiment qui est régulièrement présent dans la fiction et dans le cinéma, Avant toi traite d’un thème particulier, celui de l’euthanasie. Il nous donne les clés qui nous permettent de nous questionner sur ce sujet, sur ce débat qui se ‘joue’ entre la vie et la mort, et où le choix est bien souvent partagé entre la personne atteinte et son entourage. Ce film nous montre également le quotidien des personnes souffrant de paralysie, il nous permet e nous rendre un peu mieux compte de ce qu’ils vivent et surtout pensent chaque jour.

En conclusion, ce film est pour moi de loin le meilleur film que j’ai vu, et je compte bien le revoir un bon milliard de fois. Et vous ? Comptez-vous le regarder ? L’avez-vous déjà fait ?

Mange, prie, aime (Eat Pray Love) réalisé par Ryan Murphy

Mange, prie, aime

RÉSUMÉ : Elizabeth Gilbert a tout pour être heureuse : un mari, un grand appartement… Mais un jour, elle réalise que cette vie n’est pas faite pour elle. Après un divorce douloureux, elle entreprend un grand voyage à travers le monde.


Bonjour tout le monde ! Je vous retrouve pour Les Extravagances du mois de juin avec grand plaisir ! Le thème de ce soit était de regarder un film avec comme actrice l’incroyable Julia Roberts. C’est chose faite, et mon choix s’est porté sur Mange, prie, aime et je n’en suis que plus ravie. Et, bonne nouvelle, j’ai pu le regarder en VO ! Mais en quoi ce film a pu se démarquer d’un autre, me direz-vous, pour qu’il devienne par ailleurs un presque coup de cœur pour moi ? Eh bien pour le savoir, je vous laisse lire la suite !

Un merveilleux voyage visuel…

J’ai instantanément été happée par l’univers, merveilleux de par ses paysages et ses traditions, que nous offre le film. On entre dans un monde si différent et si étranger du monde occidental dans lequel nous vivons que l’on a envie de faire partie du voyage. Et plus qu’un voyage à travers les paysages de l’Italie, de l’Inde et de Bali, c’est notre existence qui évolue et qui se dévoile à nos yeux. Comme Liz – Julia Roberts – nous effectuons un voyage au fond de nous-même, ce qui nous permet avant tout d’apprendre à nous connaître.

comme spirituel

Je me suis sentie assez proche de ce personnage – même si ma vie n’était pas aussi avancée avec le mariage hein et le divorce hein ! – dans la mesure où je pense que nous ressentons tous le besoin, un jour, de nous recentrer sur nous-même et de découvrir qui l’on est vraiment. Cette histoire m’a fait prendre conscience de tout ce que nous pouvons vivre et de tout ce dont on peut être capable, quelque soit notre existence et nos expériences. Il est de ces films où, dès leur visionnage, on a envie de tout plaquer et de faire le tour du monde. Je ne pense pas que j’en serai réellement capable, mais finalement, avec un peu de volonté et de courage, il est possible de sortir de ses propres sentiers battus pour aller explorer le monde, son propre monde.

Du fait que je sois athée, j’ai eu un peu peur de ne pas me reconnaître dans la partie « religieuse » du film. Au final, j’ai été très satisfaite de découvrir non pas une histoire réellement de religion, mais davantage de croyance. Je ne sais pas si je vais réussir à me faire comprendre tant je ne maîtrise pas le sujet, mais selon moi le film traite avant tout d’une croyance en soi, en ses capacités. L’important n’est pas d’avoir foi en quelqu’un, mais de faire en sorte de trouver son propre équilibre, de la manière qui nous correspond le mieux. Je ne dirai pas que je me mettrai à la méditation – même si ma curiosité est attisée désormais – mais je ressens quelque l’envie si ce n’est le besoin de davantage me recentrer sur moi-même, et, un jour, à l’image des guru de me vider l’esprit de tous mes petits tracas et petites pensées pouvant parasiter une simplicité de vivre.

Par ailleurs, le passage en Italie m’a indéniablement donné envie d’y retourner et d’y vivre pleinement une expérience. Je me suis d’ailleurs rappelé comme l’italien est une belle langue que je devrai définitivement apprendre !

Des personnages touchants

Au-delà du personnage principal interprété par Julia Roberts (que j’ai tout bonnement adoré!), je ne peux que souligner l’attachement que j’ai eu pour chacun des personnages. On y découvre au fur et à mesure leur vécu, leur histoire, permettant de créer cet attachement particulier. Et je dédie une mention spéciale à James Franco (comment ai-je pu ne pas le remarquer plus tôt ? *.*)

Je pense vous avoir livrés les arguments qui selon moi font de ce film une petite pépite. J’attends vos retours avec impatience !

N’oublie jamais (The Notebook) réalisé par Nick Cassavetes

N'oublie jamais

RÉSUMÉ : Atteinte de la maladie d’Alzheimer, Allie vit en maison de retraite. Chaque jour, Noah lui lit le même livre. Il s’agit du carnet où Allie a consigné sa propre histoire, lorsqu’elle a appris sa maladie. Pour ne pas oublier ses sentiments, elle a écrit, et Noah, inlassablement, lui relit ses propres mots. À travers eux, on la découvre dans les années trente, éperdument amoureuse d’un jeune homme, Noah, que sa mère fera tout pour éloigner d’elle, sa situation n’étant pas jugée assez bonne. Après des années de séparation, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, Allie s’apprête à épouser un avocat. Lorsque, par le journal, elle apprend le retour de Noah, l’envie lui prend de le revoir. Échappant à une vie de convenance, les deux jeunes gens se retrouvent et découvrent que leur amour est resté intact. Ils passeront le reste de leur vie ensemble, jusqu’à ce que la mémoire les sépare.

Autant vous dire que pour ce thème « Adaptation d’un roman de Nicholas Sparks », que j’avais consciencieusement ajouté à notre liste à Florian et moi, j’étais excitée comme une puce. Sur les 12 films adaptés de ses romans, j’en avais déjà vus 4, dont The Last Song, MON film préféré. Alors forcément, avec ce thème, je n’avais qu’une envie : en découvrir un autre. Mon choix s’est tourné vers N’oublie jamais. J’en avais beaucoup entendu parler, étant il me semble le plus connu des 12 adaptations. Il m’a alors semblé logique de regarder ce film, surtout avec Ryan Gosling en acteur principal :p Mais passons sans attendre à mon avis.

Un début décevant

J’ai pour le moins été déçue, malheureusement. J’en attendais certainement beaucoup, ayant adoré The Last Song, The Lucky One, Le temps d’un automne (second film préféré ^^) et Une seconde chance. Je pense que c’est ça, j’en attendais beaucoup trop. Ce n’est pas un mauvais film, j’ai passé un bon moment, mais je m’attendais à mieux. Il m’a en effet semblé que le début de l’histoire d’amour était beaucoup trop rapide et improbable. Quel est donc le caractère d’Allie, qui paraît déterminée à ne pas laisser une chance à Noah, et qui subitement tombe follement amoureuse de lui ? Peut-être y a-t-il une ellipse dans le film et que d’autres rendez-vous sont présents mais qu’on ne le perçoit pas à l’écran. Mais j’en doute fortement dans la mesure où il s’agit d’une romance estivale, et que qui dit été, dit peu de temps. Pour le savoir il faudrait que je relise le livre Les pages de notre amour, ça fait bien longtemps que je l’ai lu, je ne me souviens donc plus de grand chose – ce qui colle plutôt bien au titre du film d’ailleurs…

Un parallèle avec Titanic

Je pense que j’ai eu beaucoup de mal à accrocher au film et aux personnages. Je n’ai pas pu m’empêcher de faire un parallèle avec Titanic : un jeune homme plutôt pauvre, qui tombe éperdument amoureux d’une jeune fille de la haute société. Noah va tout faire pour attirer l’attention d’Allie, il va lui « montrer les choses de la vie » (sérieusement, se coucher en plein milieu de la route et risquer quelque peu sa vie ?), tous deux vont participer à une petite soirée plutôt folklorique au niveau musical, avec accordéon et tout le tintouin, Noah dansant avec un petit garçon – Jack avec une petite fille dans Titanic – avant de proposer à sa bien-aimée de partager cette danse de ‘classe inférieure’ (n’y a-t’il pas un passage totalement similaire au fin fond du paquebot si célèbre ?!). J’avoue que ces similitudes m’ont quelque peu dérangées. Dans le même acabit, j’ai trouvé quelques similitudes avec d’autres adaptations, The Last Song principalement (je l’ai tellement vu, les points communs ne peuvent que me frapper) : la jeune fille qui finie par montrer à son cher et tendre ses qualités de pianiste, ou encore l’une des familles d’un des adolescents qui appesantie un repas familial en rabaissant l’un des deux tourtereaux quant au choix de ne pas aller à l’université. On dira qu’on retrouve la patte de l’auteur, même si je trouve dommage d’avoir autant de similitudes, rendant le film un peu moins original.

Des personnages matures appréciables

Ce qui m’a cependant plu dans ce film, parce-que oui, j’ai quand même apprécié, ce sont les moments où nous suivons ce vieil homme qui raconte l’histoire de Noah et Allie à une vieille dame de la maison de retraite. On ressent facilement les émotions transmises à chaque chapitre lu par l’homme, ses tentatives afin de redonner la mémoire à cette femme qui (re)découvre une si belle histoire d’amour. On partage avec cette femme l’envie de connaître la suite du livre, la suite de cette romance adolescente, puis par la suite cette romance adulte. C’est également un point que j’ai apprécié : une fois la partie adolescente terminée, les personnages, leurs caractères, leurs histoires me plaisaient davantage. On ressent leur maturité qui est désormais présente, surtout pour le personnage d’Allie, pour qui cela manquait cruellement. Mais peut-on lui demander d’en avoir à l’âge de 17 ans, tandis qu’elle ne souhaite qu’une chose : vivre son histoire d’amour avec Noah ? Lorsqu’ils sont adultes, on découvre subitement ce qu’ils sont devenus, parfois on a de l’espoir pour leur histoire, parfois non. Je me suis je pense sentie plus proche d’eux adultes qu’adolescents, ce qui est certainement logique.

J’ai par contre été plutôt déçue par Ryan Gosling, je l’ai largement préféré dans Crazy Stupid Love :p

S’en est tout pour ces Extravagances de F&M du mois d’avril , à bientôt !

Chasseur blanc, cœur noir (White Hunter, Black Heart) réalisé par Clint Eastwood

Chausseur blanc, coeur noir.jpg

RÉSUMÉ : Un réalisateur de films intransigeant, John Wilson, s’apprête à tourner une superproduction en Afrique. Il est peu à peu captivé par un autre projet: celui de partir à la chasse à l’éléphant. En 1951 Peter Viertel, romancier, accompagne John Huston en Afrique sur le tournage d' »African Queen ». Il en tire un ouvrage « Chasseur blanc, cœur noir » qui, déclare-t-il, « ne traite pas d' »African Queen ». C’est le portrait d’un réalisateur en proie à une obsession envahissante qui, pour lui, passe avant tout. Une obsession dont le prix sera exorbitant. »

Bonjour tout le monde ! Ou plutôt bonsoir vue l’heure à laquelle je poste cet article… Oui, je le sais, ce n’est pas raisonnable de ma part de poster ma seconde découverte des Extravagances de manière si in extremis, mais le principal est que je sois dans les temps, n’est-ce pas ? 😀

Alors le voici le voilà, dans le thème « Réalisé par Clint Eastwood », je vous présente Chasseur blanc, cœur noir ! Le plus connu, n’est-ce pas ? Hmm hmm… C’est donc le second film que je regarde de ce grand réalisateur, après American Sniper dont je compte bien vous parler un jour (très précis hein ? :p). J’ai hésité entre ce film et Invictus, peut-être aurai-je dû opter pour le second ? Certainement. D’autant plus que regarder Chasseur blanc, cœur noir lorsque l’on a peu dormi… C’est assez compliqué à comprendre… Mais voilà, je vais quand même essayer de donner un avis qui je l’espère sera tout au moins pertinent sur ce film !

Petite mise en contexte

J’espère ne pas me tromper en disant cela, mais il me semble que le personnage qu’incarne Clint Eastwood – parce-que oui, il a une fois encore une double casquette pour l’un de ses films – incarne un réalisateur ayant tourné en Afrique. Une grande différence se ressent cependant : le réalisateur représenté se concentre essentiellement sur le tournage de son film, tandis que Clint Eastwood semble plutôt préférer chasser l’éléphant, jusqu’à décevoir ses amis.

Une forte personnalité incarnée par Clint Eastwood

J’ai trouvé assez intéressant ce point de vue que l’on a du travail, des ambitions du réalisateur, même s’il n’est certainement qu’une facette, qu’une personnalité parmi la multitude d’hommes qui exercent ce métier. On découvre au départ un personnage qui fait tout pour réaliser un film à son image, sans artifice, en insistant pour tourner en Afrique plutôt que dans un studio ou dans un décor qui n’est pas fidèle à sa vision des choses. On découvre par cela un personnage caractériel, qui sait ce qu’il souhaite et qui d’ailleurs l’obtient, sans prendre garde à son entourage. Ses ambitions vis-à-vis de son film vont rapidement être tournées vers un autre objectif : celui de chasser un éléphant. Le réalisateur se détourne totalement de sa création ainsi que de ses partenaires, montrant un personnage borné.

Je ne saurai dire si j’ai aimé ce film ou non, tant il m’a semblé compliqué. Il me faudrait certainement le revoir à tête reposée afin de mieux le cerner et en comprendre les objectifs de Clint Eastwood.

J’espère faire mieux pour le prochain, et promis, je serai en forme quand je regarderai le film ! D’ailleurs en attendant je vous invite à aller voir mon précédent article des Extravagances, beaucoup plus fini et intéressant !

Le Labyrinthe (The Maze Runner) réalisé par Wes Ball

Le Labyrinthe

RÉSUMÉ : Quand Thomas reprend connaissance, il est pris au piège avec un groupe d’autres garçons dans un labyrinthe géant dont le plan est modifié chaque nuit. Il n’a plus aucun souvenir du monde extérieur, à part d’étranges rêves à propos d’une mystérieuse organisation appelée W.C.K.D. En reliant certains fragments de son passé, avec des indices qu’il découvre au sein du labyrinthe, Thomas espère trouver un moyen de s’en échapper.


Je suis allée voir le film peu de temps après sa sortie (autant dire que ça date…). Je pourrais ressortir mon ticket de cinéma pour vous donner la date exacte, mais ça n’aurait pas d’intérêt…

Une dystopie qui se démarque

Comme une bonne partie de la population je pense, j’aime beaucoup le genre dystopique, qu’il soit cinématisé ou romancé. Je ne réfléchis en général pas beaucoup quand je regarde ce genre de films, je passe seulement de bons moments, avec des personnages sympathiques, et régulièrement de la romance, à trois bien souvent. Aaaah les triangles amoureux ! C’est quasiment devenu un critère pour le genre, mais on pourrait bien s’en lasser. Du coup, j’ai beaucoup aimé le fait qu’il n’y ait pas de triangle amoureux dans Le Labyrinthe, ça fait du bien, ça sort du lot. Un bon point donc pour l’histoire.

Un casting intéressant

Ensuite, j’apprécie beaucoup le casting. Dylan O’Brien dans le rôle principal de Thomas, jouant également dans la série Teen Wolf, personnage très humoristique. Kaya Scodelario apporte une touche de féminité dans ce casting principalement masculin. Elle est également connue dans la série des adolescents trashs de Bristol : Skins. J’ai particulièrement aimé le jeu de Will Poulter. Dans le souvenir de son rôle particulièrement irritant dans le troisième volet du Monde de Narnia, j’ai tout de suite attribué cette image énervante au personnage de Gally dans Le Labyrinthe. Assez agaçant dans cette dystopie, je trouve que l’acteur maîtrise un rôle plutôt difficile à cerner. En effet tout au long du film je n’ai su décrypter la personnalité du personnage. Est-il juste stupide ? Je n’en suis pas certaine. Enfin, pour compléter ce casting, on y retrouve Thomas Brodie-Sangster, acteur de Love Actually, mais également de la série Game of Thrones.

Pour conclure sur ce premier film, j’ai tout simplement aimé ce premier volet ! J’ai vu le second, dont je parlerai une prochaine fois 😉