RÉSUMÉ : La Durance, un navire marchand, est échoué sur des récifs. Le propriétaire du bateau promet la main de sa fille, Déruchette, à quiconque s’aventurera à réparer le navire. Gilliat, un jeune homme simple d’esprit, et amoureux de Déruchette, va entreprendre cette périlleuse entreprise. Un magnifique récit épique, une lutte entre un homme et l’océan.
Je n’aurai jamais pensé écrire un article sur ce classique de la littérature, mais le dénouement aura eu raison de moi !
Une loooooooongue lecture…
Ça n’a pas été une lecture facile, loin de là, je n’ai d’ailleurs réellement lu qu’une infime partie de l’ouvrage… Mais alors, comment suis-je supposée donner mon avis dessus me direz-vous ? Pour sûr, ne vous attendez pas à une grande critique et analyse de l’œuvre de ce cher Victor Hugo. Je ne l’ai déjà pas fait durant ma première (et unique) année de Lettres Modernes alors c’est vous dire…
… mais une histoire qui aura attisé ma curiosité jusqu’au bout !
Par ce bref écrit je souhaite seulement souligner que malgré de nombreuses descriptions (que je n’ai probablement pas appréciées à leur juste valeur), l’histoire et l’intrigue sont rondement menés afin de mener le lecteur jusqu’au bout (par vol d’oiseau dans mon cas ou en nageant profondément dans les abysses du récit de notre écrivain).
Malgré une lecture très peu linéaire du texte, j’ai pu saisir et capter l’histoire de fond (marin haha) et frissonner avec un dernier chapitre qui m’a carrément retournée. Voilà pourquoi j’en suis venue à écrire quelques lignes sur cet ouvrage auquel j’ai bien passé 300 pages…
3 commentaires sur “Les travailleurs de la mer de Victor Hugo”